Lili's world (avec un peu de Didi dedans)

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lundi, février 14 2011

[prez] Pokemon version noire et blanche

Prés de 15 ans après le premier Pokémon sur Gameboy sorti uniquement au Japon et 13 ans après la déferlante mondiale, Pokémon continu sur sa lancé de success-story. Comme les autres volumes sortis par trois (rouge/bleu/jaune, or/argent/cristal, etc) le 4 mars 2011 sortiront les deux nouvelles versions Blanche et Noire.

Ce nouvel opus est annoncé comme le plus sombre de la série avec un design de Pokémon qui se veut plus dur, plus agressif pour faire gagner de la maturité au jeu. L’intrigue reste classique, le joueur se voyant confronté à la team Plasma et au dresseur N. qui se sont spécialisés dans le vol de Pokémon ou souhaitant faire des Pokémons des créatures qui ne subissent plus la domination des dresseurs.

Comme dans les précédentes histoires, le joueur choisi d’incarner soit un dresseur garçon soit un dresseur fille. La poke-ball de base contient trois nouveaux Pokémon : Vipélierre, Gruiki et Moustillon. Chaque animal a ses propres caractéristiques. Il peut être de feu, d’eau, de terre, … Selon son niveau votre Pokemon aura des « pouvoirs » différents, comme dans tout RPG qui se respecte. Car, oui, les jeux Pokémon sont des RPG. Je le signale car, pour moi qui n’y avais jamais joué, il s’agissait simplement d’une chasse à la bestiole qu’on peut s’échanger à la récré (oui, j’ai honte maintenant). Bref, une fois votre poke-ball remplie du Pokémon de votre choix parmi les trois précédemment cités, vous pourrez enfin partir à l’aventure dans la région d’Unys et découvrir plus de 150 nouveaux Pokémon dont le fameux (et irritant) Zorua qui tient la vedette dans le 13eme film Zoroark : Le maître des illusions (qui sortira le 6 Avril 2011 en DVD et qui a été diffusé lors de la présentation des jeux). Les fondamentaux du jeu sont toujours présents : les arènes, les badges à collectionner (pour être le meilleur dresseur de Pokémon) entre autres.

Pour les nouveautés, en plus des Pokémons, citons ce qui me semble le plus intéressant niveau game-play : le cycle saisonnier. Ça ne semble rien comme ça, mais selon la saison, le joueur va pouvoir accéder (ou non) à certains endroits stratégiques, comme cela fut le cas dans deux Zelda l’Oracle des Saisons et l’Oracle du Temps. De même certains Pokémon ne se verront que sur certaines saisons ou bien ces dernières les feront changer d’aspect. Le système des combats évolue aussi. Vous pourrez dorénavant faire des combats avec trois Pokémon, la position du Pokémon sur le terrain influant sur le nombre de dégâts infligés à l’adversaire.

En plus des nouveautés dans le jeu, les fans pourront se régaler avec le Pokemon Global Link. Il s’agit d’un site sur lesquels les joueurs pourront se connecter pour obtenir des informations, des mini-jeux, des cadeaux, etc. Le joueur pourra, par exemple, avoir sa maisonnette à décorer pour rendre son Pokémon heureux, les Pokémons rencontrés sur le site pourront être envoyé vers la DS du joueur, les baies de soins peuvent être plantées et entretenues sur le net avant d’être utilisées dans le jeu, etc.

Pour finir sachez que dès le 4 mars il vous sera possible de télécharger depuis votre point de vente du jeu le pass-liberté qui vous permettra de récupérer le Pokémon Victini. (Les Poke-fans présents lors de la présentation de ces deux nouveaux jeux ont eu la chance de pouvoir gagner le Pokémon légendaire Célébi, autant vous dire que celui-là, on ne va pas en trouver beaucoup dans les échanges).

Pikaaaaaa !!!

Billet écrit pour Les gameuses

lundi, mai 31 2010

Dragon ball - Origins

DB-DS.jpgPlateforme : DS

Catégorie : Action

Date de sortie Fr : 28/11/2008

Classification : 12 +

Parce qu’il est parfois bon de rappeler qu’il y a eu une vie avant Dragon Ball Z et ses super-sayens.

Parce que, honnêtement, si on est de la génération Club Do’, faut avouer qu’on a bien ri devant la naïveté de Goku et l’attitude déjantée des autres perso.

Alors rien que pour ça, je n’ai pas résisté quand j’ai trouvé le Dragon Ball Origins à moins de 10€ neuf.

Un peu d’histoire

Revenons aux origines, en 1984, A. Toriyama se lance dans ce qui deviendra rapidement culte : Dragon Ball. L’histoire est simple : un petit gars frappé et bien niais et une fille mignonne partent à la recherche des sept boules de cristal. Ces boules une fois réunies permettent d’invoquer Shenron, le dragon, qui exauce le souhait de son invocateur.

Et le jeu dans tout ça ?

Le joueur incarne Goku dans sa quête des boules de cristal. Ce qu’il y a de fun, c’est que pour peu qu’on soit fan, il y a des répliques (« les boules ont disparu !! ») et des perso (Tortue géniale en tête) qu’on attend avec une impatience non-feinte. Ceux qui n’ont pas trop connus la série ont bien souvent les mêmes réactions que les connaisseurs (mon mari ne s’est toujours pas remis de la disparition des boules de Bulma ^^ ; ). Il serait cependant dommage d’en dévoiler plus sous peine de vous gâcher le plaisir de cette (re)-découverte.

Passons donc au côté technique du bébé. Force est de reconnaître que l’univers de Toriyama est franchement bien reconstitué. J’avoue qu’à chaque lancement je me fais le générique de début du jeu (que l’éditeur a laisse en VO, gloire à lui !). Le design est beau et fidèle, les perso et lieux reconnaissables avant d’être nommé, etc.

Niveau jouabilité, tout peut se faire au stylet ou bien en mixant stylet et croix de direction. Il y a parfois quelques ratés dans les premiers coups portés à l’ennemi au début du jeu à cause du stylet (tourner le stylet autour du bâton magique pour faire apparaître un tourbillon envoie Goku à l’autre bout de la map par exemple), mais ça s’oublie vite une fois qu’on maîtrise mieux le stylet.

Un autre point bien sympathique réside dans le fait qu’il y a deux modes de jeu pourrait-on dire. Chaque sous-chapitre résolu ouvre le suivant, une fois le chapitre entier terminé à vous de voir si vous souhaitez continuer l’histoire (et ouvrir un nouveau chapitre) ou bien faire un peu de rab en faisant les mini épreuves du sous-chapitre suivant. En gros, on fonce ou on flâne.

Par contre, niveau évolution de la difficulté…ben, j’espère que le suivant sera mieux équilibré ! Heureusement qu’il y a deux paires de mains pour jouer dessus à la maison et que chaque paire a ses compétences propres parce que sinon il n’aurait pas fait long feu le Goku. Les labyrinthes sont simples à résoudre mais les combats avec certains persos demandent une certaine dextérité avec le stylet. Le premier boss m’a littéralement fait tomber la console des mains, j’ai passé un temps fou dessus alors que le combat contre Oolon fût fait les doigts dans le nez quand bien même il demande une meilleure prise en main des techniques de combat.

D’une durée de vie d’une petite dizaine d’heures (après ça dépend si on veut faire le mode acharné ou pas, et faire toutes les quêtes annexes de fond en comble), ça reste un petit jeu honnête, pas prise de tête et agréable malgré son problème de gestion du stylet.

Les plus :

- Le retour aux origines et le fun qui va avec

- L’arborescence du jeu

- Pas prise de tête

Les moins :

- Le petit problème de prise en main que certain peuvent rencontrer

- Un peu trop facile quand même

La note :

3.5/5

(Billet écrit pour les gameuses)

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mardi, mai 4 2010

Little king's Story

Le problème quand on est un petit garçon timide, c’est qu’on n’a pas beaucoup de copains. Alors quand une famille de souris multicolores vous invite à les suivre vous saisissez votre chance de vous faire de nouveaux amis. Ce que les souris ont oublié de vous dire c’est qu’une fois passé le trou dans le mur, fini la rigolade, on attend de vous que gériez un petit royaume pas bien en forme. Et pour ça il va falloir cogiter. Rendre les villageois actifs en les formant à divers métiers et récupérer les trésors pour renflouer les caisses du royaume. Après un petit didacticiel pas très folichon, la vrai vie de château commence et les ennuis avec ! Soyons clairs, un didacticiel c’est bien, un didacticiel bien fait c’est mieux. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai découvert une commande par le plus grands des hasards d’un glissement de main sur la wii-mot…Mais bon, le jeu est suffisamment plaisant pour vite oublier ce désagrément. Sinon vous pouvez aussi lire le manuel, mais s’arrêter toutes les 5 min pour trouver la bonne manip’ ce n’est pas mon truc. Bref, une fois notre roi bien installé dans son petit royaume, que se passe-t-il donc ? A part la chasse aux trésors, il va falloir réfléchir pour savoir quelle unité prendre pour démonter sans trop de perte humaine le monstre local ou encore quelle amélioration sera plus efficace pour la suite de l’aventure. Agrandir son royaume, protéger la princesse (que serait un roi sans sa princesse ?), se perdre dans les contrées nouvellement acquises, etc. Que vous soyez aventureux, à partir toujours tête baissée ou contemplatif à vous promener en regardant le décor, il y aura toujours quelque chose de nouveau à voir ou à faire.

Ce qu’il y a de très plaisant dans Little king’s story, c’est que non contents de nous fournir un petit jeu de gestion pas prise de tête, les concepteurs ont réalisé un petit univers haut en couleurs et en musiques classiques réorchestrées. On tombe facilement accro aux habitants d’Alboko, à leur nonchalance, leur mimique et leur vocabulaire. Si vous avez aimez Pikmin il n’y a pas de raison de ne pas aimer Little king’s story. Malgré son design « pour enfants », je ne le conseillerai pas avant environ 10 ans, faute de bien comprendre qu’il n’y a pas que la baston qui fait avancer le jeu. Ce qu’il y a de moins plaisant c’est que le jeu peut vite devenir répétitif au début : Réveil, doléances, recrutement, chasse aux trésors ou aux monstres, aller se coucher. Rajoutez de temps en temps de nouveaux espaces et vous avez le déroulement classique d’une journée de roi. Après, viennent les premiers défis vraiment intéressant à relever. Mais à part ça pas de gros défaut en vue.

Les plus : - le design - l’ambiance bon enfant - la difficulté croissante - Faciliter de la prise en main

Les moins : - L’aspect facilement répétitif en cas de caisses vides - Un didacticiel plus rempli aurait été appréciable

La note :

4/5

mardi, mars 10 2009

Studioquizz - le maillon faible

Connaissez-vous studioquizz ?

Il s'agit d'un petit quizz en ligne. On vous pose 10 questions, et il faut être le plus rapide à y répondre. Ce qui est fun dans ce jeu est de voir la culture de ses opposants. Si certains sont des tueurs d'autres...A la question "Qui est le guitariste du groupe fondé par Hendrix ? " je fus la seule à donner la réponse (je laisse chercher dans les coms pour ceux qui ne le sauraient pas) et plus d'un ont donné "Polnareff" comme réponse... Un ami se retrouva avec la question "quel est le prénom de Rimbault ?" Réponse unanime de presque tous les joueurs : "John".

Bref, amis de la culture voici un petit screen de la partie de ce matin, la question était "Qui était le roi des Huns ?" :

 

 

huns.jpg

 

(vous aurez bien sûr compris qui est Likefia :p )

vendredi, février 27 2009

Les jeux vidéo, c'est le diaaaaaaaaable !

Play-station-Palmar-hidradenitis-1.gif

(cliquez pour agrandir)

extrait du monde du 25/02/09 :

 

 

"Des médecins suisses ont prescrit à une fillette de 12 ans un arrêt total de jeu vidéo durant une dizaine de jours pour venir à bout d'une inflammation de la peau des mains causée par l'utilisation excessive d'une manette de jeu.

La nouvelle affection a été baptisée "Palmare PlayStation Hidradenitis" et a été décrite dans le magazine spécialisé British Journal of Dermatology par le professeur Vincent Piguet, des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). L'adolescente présentait des lésions douloureuses sur la paume des mains depuis quatre semaines. "Il s'agissait de gros nodules rouges très spectaculaires", a expliqué le Pr Piguet à l'agence de presse suisse ATS.

Il a fallu mener une enquête approfondie pour découvrir l'origine de la maladie : la fillette cachait en effet à ses parents qu'elle jouait pendant des heures avec sa console de jeu. Le Pr Piguet et son équipe sont arrivés à la conclusion que la crispation des mains sur la manette et l'appui frénétique sur les touches ont provoqué de minuscules blessures cutanées. Celles-ci ont pu s'aggraver avec la transpiration.

La fillette s'est vu imposer dix jours d'abstinence de PlayStation et les lésions ont disparu spontanément. Ce cas est le seul répertorié à ce jour."

 

Bon, en gros elle avait des cloques et il y a des claques qui se perdent...(tant le soi-disant docteur que la gamine)

D'ailleurs, j'ai moi aussi un beau spécimen de maladie rare et surtout incurable : "Doctor es connerita". Sérieux, docteur, vous n'avez jamais eu de cloques et de calles aux mains après avoir monté un meuble ?

 

Sur ce, je vais jouer un peu sur DS, tiens.

lundi, juillet 28 2008

Qu'est-ce qu'on mange ?

Autant monsieur Lolo a toujours de bonnes idées en cuisine autant moi...je préfère rester dans les sentiers connus (quiche, gratin, blanquette,etc). C'est pas faute d'avoir plusieurs livres de cuisine (un gros pavé et quelques fascicules thématique genre sushi, poisson gâteaux chocolat). Alors quand monsieur Lolo m'a parlé de Cooking mama, j'ai trouvé ça drôle comme principe de jeu. Mais pas au point de payer 40 € pour une cartouche.

Donc quand je l'ai trouvé à 20€, j'en ai profité. Et grand bien m'en a pris !

C'est fun, c'est rapide, précis et décidément bien fun !  

On commence par de l'entrainement sur des plats simples type pâtes, puis on peut améliorer pâtes à la bolognaise, aux scampi, etc. Au bout d'un temps on débloque de nouvelles recettes. J'avoue avoir eu le coup de coeur pour le bol de nouilles instantanées ^.^

 

Je ne sais pas si les recettes proposées sont réalisables (fondamentalement elles le sont) car la cuisine est vu à travers le jeu de rapidité et de réflexe, donc : "situation à ne pas reproduire à la maison"

 

Si vous le trouvez, n'hésitez pas à investir !

 

cooking_mama.jpg
cooking_mama 2.jpg