Lili's world (avec un peu de Didi dedans)

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dimanche, juillet 20 2008

Muzica !

Pour palier au temps désatreux de la région parisienne, je vous propose de faire la danse du soleil et de la bonne humeur :

 


jeudi, juillet 10 2008

Maiden, l'aprés concert

Comme je ne connais pas trés bien Maiden, je laisse Monsieur Lolo vous raconter le concert.

 

 

 

1er juillet 2008 : Eddie prend possession de Bercy, pour un show placé sous le signe du retour dans le temps et de la commémoration des plus grands albums de la période dorée d’Iron Maiden. La salle est comble, vos serviteurs bien au chaud sur les marches dans les gradins, avec vue imprenable sur la scène.

Passons rapidement sur Lauren Harris (fille du bassiste de Maiden, Steve Harris), qui nous délivre un set rock à souhait, agréable à écouter et remuant comme il faut, mais sans originalité. Dommage, car la demoiselle et ses musiciens savent occuper une scène, communiquent efficacement avec le public (certes, elle cite un peu trop souvent le titre de son album, mais bon…), et sont loin d’être mauvais. Bref, une petite tequila sans prétention en guise d’apéritif. Avec la chaleur de la journée, c’est déjà bien agréable.

Passons également sur les 20 mn de torture qui ont suivi, avec le groupe assurant la deuxième première partie (Avenged Sevenfold, un nom à fuir). Du bruit, des musiciens qui semblent en être encore au stade « orchestre du lycée », et un chanteur bodybuildé qui pue le gros beauf texan à plusieurs kilomètres à la ronde (pour vous donner une idée, imaginez Biff, de Retour vers le Futur, déguisé en Till Lindemann, le chanteur de Rammstein : vous visualisez le désastre ?). Une prestation courte, mais dont chaque seconde est une seconde de trop. Sans compter les « fuck » tous les deux mots.

 

Et puis, vers 21h 15, le noir se fait. Deux écrans discrets sur les côtés passent des images d’archives de la bataille d’Angleterre, on entend les Spitfire décoller ; le discours de Churchill résonne, les lumières clignotent pour évoquer la DCA… Et les guitares enchaînent, entamant les premières notes du fabuleux Aces High. D’emblée, le ton est donné : Bruce Dickinson court et saute partout, le public chante aussi fort que lui, les autres musiciens assurent une présence scénique à la fois parfaitement rôdée et pleine de spontanéité.

Sitôt Aces High achevé, le groupe délivre avec la meme énergie Two Minutes to Midnight, puis l’incontournable The Trooper. Dickinson, comme à son habitude, apparaît vêtu d’une vareuse rouge de soldat de l’Empire Britannique, et chante tout en agitant l’Union Jack.

 

A la fin de la chanson, le batteur Nicko McBrain se lève, vient tranquillement offrir ses baguettes au public, puis se croise les bras avec un grand sourire… Il vient de casser sa batterie, comme l’annonce un Dickinson rigolard et gentiment moqueur.

 

Les classiques du groupe vont alors s’enchaîner sans temps mort, supportés par des musiciens en grande forme, et une mise en scène classieuse. Outre le décor général à tonalité égyptienne (repris de la tournée Powerslave), de nombreux tableaux se succèderont en arrière plan pour illustrer les différentes chansons, chacune parfaitement et intelligemment mise en valeur : des jets de flammes et une statue du Démon pour The Number of the Beast, de la fumée et un bateau fantôme pour The Rime of the Ancient Mariner (certainement l’un des clous de la soirée), etc.

 

Le public est visiblement aux anges, et chante en continu la plupart des chansons. Pendant les refrains, Bruce Dickinson n’a même plus besoin de chanter, sachant que la salle le fera plus fort de lui. A tel point qu’on se croit parfois dans un karaoké géant.

 

Si on pourra toujours regretter l’absence de Phanton of the Opera, de titres extraits de Killers ou un plus grande présence de chansons extraites de Seventh Son of a Seventh Son (nous n’aurons droit qu’à Can I play with Madness et Moonchild – qui clôturera de superbe façon le concert), force est de constater que les quinquagénaires tiennent toujours la forme. Le spectacle était au rendez-vous, la musique excellente, le groupe fidèle à lui-même, simple et proche de son public. « Nous existons parce que vous existez », nous dira Bruce au cours de la soirée (en français).

 

Les deux heures de concert passent donc presque trop vite, et on ressort de la salle le sourire aux lèvres, heureux d’avoir assisté à un show de grande qualité, et d’avoir pu entendre une ribambelle d’excellents titres : en plus de ceux déjà cités, on pourra se rappeler  notamment Fear of the Dark, The Claivoyant, Revelations, Iron Maiden, Run to the Hills, Hallowed be Thy Name, Heaven can Wait (avec la venue des roadies sur scène pour entonner le refrain avec le groupe), Wasted Years, etc.

 

Bref, le concert idéal pour ceux qui n’ont jamais vu le groupe sur scène (on revit les grandes heures de la légende, 25 ans en arrière – voire un peu plus), mais aussi pour les autres. La soirée qu’il ne fallait pas rater. Et on y était !

 

dimanche, juin 29 2008

Muzica ! thème 6 : épique (1)

Devinez qui j'irai voir Mardi soir à Bercy ?

 

Allez, je suis clémente (et j'aime les clémentines), je vous donne un indice :

 


dimanche, juin 22 2008

Fête de la musique

D'habitude je ne participe pas à ce genre de trucs. Dédé et son orchestre m'attire autant que le minet que crache dans son micro croyant faire un rap exceptionnel.

Force est de constater que cette année j'ai rompu mes voeux et que j'ai été remuer du popotin dans la rue.

Mais que m'est-il arrivé ? Manipulation ? Drogue?

Et bien non ! Juste de la bonne musique. De la vraie !

Parce qu'il y a un truc que je ne m'explique pas...Allumez votre télé ou radio sur une station de musique. C'est fait ? Vous avez droit à quoi ? Du rap, du R'n'B, de la pop, de la variétoch. C'est ce qu'écoute le quidam, ce qu'il aime. Donc en toute logique, si je descends dans la rue la nuit du 21 juin, j'aurai droit à ce genre de musique. A droite une reprise de Goldman, à gauche un pseudo-Eminen. Alors comment j'ai pu me retrouver à danser dans la rue...Comment j'ai pu m'abaisser à applaudir des deux mains le groupe devant lequel je m'étais arrêté…moi qu’on regarde de travers quand je dis aimer tel ou tel groupe…Pourquoi j’ai dansé devant Dédé et son orchestre…Pourquoi Dédé chantait du ZZ-top, du Noir désir, du AC/DC…Pourquoi, à chaque coin de rue, des groupes (dont un d’une moyenne d’âge de 15 ans grand maximum) faisaient des reprises d’Indochine, des Stones, des Clash ? Pourquoi n’y avait-il personne pour jouer ce qui passe à la radio ? Pourquoi devant chaque groupe, tout le monde se trémoussait de l’ado pré-pubère à la mère de famille rangée (et chez moi, les mères de famille c’est col de chemise boutonné jusqu’en haut et jupe plissée jusqu’en dessous du genou) ? Même des petites puces sur les épaules de leur papa se dandinaient en rythme !

Je vis dans une faille spatio-temporelle qui ouvre sur la quatrième dimension du Rock ?

Quelqu’un a-t-il serait ce qu’un début d’explication ? Perso, j’en ai bien une, mais elle risque de ne pas plaire. Dedans, il est question de culture de masse, de lavage de cerveau par la répétition, de gros sous…

 

Et puis comme c’est dimanche, allez hop ! Musikaaaa !

 


 

Attention ! ça crachotte sous firefox 3 mais nickel avec les autres versions. 

 

mardi, juin 17 2008

Rien que pour vos yeux

A presque une heure de la fin du match, soyons francs...ON S'EN BRANLE !!!! TOUS DES REGIS !!!!!

 


 

 

Quoi encore ?

 


 

Toujours pas rassasié ?

 

Allez tous en coeur :

 


 

Vous dormez ? Prenez un café !

 


 

Les deux suivantes, c'est mon petit plaisir à moi :

 


 


 

 

Enjoy ! 

dimanche, juin 8 2008

Muzica ! thème 5 : les inclassables (2)

Haut les coeurs !

La vie est belle, les oiseaux chantent !

 

Ecartez vos meubles et lachez-vous ! YATTA !!!

 


lundi, mai 26 2008

Le Pendule de Foucault

Comment a t-il pu en arriver là ? C'est la question que se pose Casaubon, le narrateur, caché à proximité du pendule de Foucault, à la recherche de son ami Jacopo Belbo.

Pour résoudre son énigme Casaubon n'a d'autre choix que de se remémorer sa vie d'étudiant, sa rencontre avec Belbo et surtout les templiers et leur secret. Par jeu, Belbo et lui vont créer un plan diabolique pour comprendre le secret des templiers. Quelquechose a mal tourné, quelqu'un cherche à les faire taire. Et si leur simple jeu les avait conduit sur la voix de la vérité, d'une vérité qui pourrait bien changer la face du monde ?

 

Quand on est fan de templiers et d'histoire médiévale, on se laisse porter par l'histoire...jusqu'à ce que l'ennui s'installe. Un Eco de moyenne qualité. Restez-en au saumon et Baudolino beaucoup plus tordu et pourtant beaucoup plus crédible !

 

Next one : Uglies (surement fini d'ici ce soir).

dimanche, mai 25 2008

Muzica !

Pour apprécier un dimanche caca pluvieux, rien de tel que de la bonne musique et surtout une bonne vidéo.

Certains d’entre vous la connaissent peut-être déjà mais rien ne les empêchent de continuer à bien se marrer avec le bonhomme.

 

 

Edit : pour ceux qui n'arrivent pas à la voir : allez sur You tube et tapez "Amish paradise" 


 

Bon dimanche !  

dimanche, mai 11 2008

Muzica ! thème1 : les contes de fées (1)

Je vais essayer de régler une note tous les dimanches matins en suivants un thème.

Explication : Les clips parfois (et même souvent) c'est un vrai festival  ! J'ai donc sélectionné quelques thèmes qui me permettront de vous mettre des vidéos musicales. 

pour le moment les thèmes sont :

1 - contes de fées

2 - aujourd'hui c'est nostalgie

3 - parodie powaa

4 - kitsch attitude

5 - les inclassables

6- épique 

 

Pour commencer, voici une vidéo de Rammstein qui réinterprète Blanche-Neige à sa façon :

 


samedi, avril 19 2008

La Cité des jarres

Quand un vieillard est retrouvé mort dans son salon, le commisaire Erlendur sent que sa journée va être longue.

Quand la journée commence par un crime sans queue ni tête, un truc bête et méchant, alors on sait que cette journée sera mauvaise.

Mais si au cours de l'enquête, on découvre que le vieux monsieur était un violeur en série et que l'on se retrouve à réveiller des morts vieux de 40 ans pour résoudre l'énigme alors la journée devient de plus en plus glauque au fur et à mesure que l'enquête avance.

 

Sacré Erlendur ! Je viens encore de passer des heures à végéter sur mon canapé pour savoir le fin mot de l'histoire. A lire de toute urgence ! Attention cependant, si vous comptez lire aussi la Femme en vert du même auteur, commencez par la Cité des jarres (la vie d'Erlendur est à suivre et non les enquêtes).

 

Next one : La mystérieuse flamme de la reine Loana de Umberto Eco

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